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Challenge « Hommes de valeurs » Sanders récompense 23 binômes « éleveur / technico-commercial »
La deuxième édition du challenge « Hommes de valeurs » organisée par Sanders s’est articulée autour de trois thématiques représentatives de la marque, a présenté Alain Guillaume, responsable du réseau concessionnaires Sanders et organisateur du challenge : « Gagner plus », « Travailler mieux et gagner du temps », « S’ouvrir des perspectives ». 23 dossiers ont été récompensés.
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Dans le cadre du Challenge « Hommes de Valeurs », les technico-commerciaux aliments Sanders sont invités à se rapprocher de l’un de leurs éleveurs clients dont ils apprécient le niveau de technicité et la performance de leur élevage pour lui proposer de participer avec lui au Challenge « Hommes de Valeurs ».
Différentes productions sont concernées : Ruminants (bovins viande, vaches laitières, ovins et caprins), poules de chair, poules pondeuses, porcs et lapins.
La particularité de ce challenge est d'être constitué de binômes éleveurs-technicien, précise Alain Guillaume. 110 dossiers ont ainsi été déposés sur la base du volontariat (© Web-agri) |
L’objectif de cette démarche est d’assurer la pérennité des élevages. « Trouver des solutions pour être là demain », souligne Bernard Mahé, directeur national Sanders.
110 dossiers ont été présentés, 40 nominés et 23 finalement récompensés. Des « plus » dans la notation étaient appréciés, tels la compréhension aisée du dossier, la présence d’illustration photographique, des croquis, etc. « Une brillante démonstration ne suffisait pas, il était nécessaire de présenter des documents de fiabilité, tels des documents de gestion, des pesées, des bordereaux, etc. », précisent les organisateurs.
Les lauréats du métier ruminant
Dans la thématique : « GAGNER PLUS »
« Rester groupir ! »
Acteurs : Jérôme Marchandiau, élevage de bovins viande (71) – Eric Montchanin, Sanders Aurore.
Moyens : Mieux maîtriser la reproduction et la production des vaches allaitantes en modifiant l’alimentation (gamme Toni) et la conduite d’élevage.
Performance : Entre l’amélioration de la fécondité des mères et du GMQ (gain moyen quotidien) des veaux, le résultat annuel de l’atelier a progressé de plus de 7 500 €. Les vêlages sont plus précoces et groupés à l’automne.
Livrer plus de lait en pilotant le TB (taux butyreux)
Acteurs : Gaec Vautier, exploitation laitière (08) – Cédric Marion, Sanders Nord.
Moyens : Ajustement de la ration aux objectifs de production avec la gamme d’aliments Sandiprofil.
Performance : Le taux butyreux a reculé de 5 points tandis que le niveau d’étable progressait de 1 400 litres de lait par vache laitière. L’état corporel des vaches s’est amélioré au bénéfice des performances de fécondité. Gain total : 7 510 €.
« Label » valeur pour ses agneaux
Acteurs : René Galland, élevage ovin (05) – Frédéric Berrier, Sanders Aurore.
Moyens : Adoption de la gamme Ténor de Sanders.
Performance : En soignant l’alimentation de ses brebis et de ses agneaux, l’éleveur a amélioré son taux de labellisation, tout en confortant l’état sanitaire du troupeau.
Quantité et qualité pour gagner plus
Acteurs : Pascale et Christian Giraud, élevage caprins (38) – Alain Pinon, Sanders Aurore
Moyens : Augmentation de la quantité et de la qualité du lait pour assurer le revenu de la famille par la mise en place d'une ration Fluvia qui respecte les fondamentaux d'Idéal System.
Performance : L'éleveur a augmenté sa marge de 28 247 € par an, soit 123 €/chèvre.
Merci Sandiprofil !
Acteurs : GAEC de l’Étoile, exploitation laitière (88) – Yaëlle Melnotte, Sanders Grand Est.
Moyens : Faire baisser la matière grasse tout en augmentant le niveau de production par vache laitière grâce à la gamme d'aliments Sandiprofil.
Performance : Ce changement d'alimentation a amélioré le résultat économique de 2 475 €
par an.
Dans la thématique : « TRAVAILLER MIEUX ET GAGNER DU TEMPS »
Practis, c’est pratique !
Acteurs : EARL de l’Opton, exploitation laitière (28) – Patrice Le Roy, Agralys Aliments.
Moyens : Passage de la ration mélangée à la ration simplifiée Practis.
Résultats : Les exploitants ont libéré deux heures de travail quotidien et augmenté de 3,1 kg de lait/jour la production de leurs 80 vaches Normandes. Le solde sur coût alimentaire est positif de plus de 5 000 € sur la campagne laitière. Il convient d’y ajouter le temps et le confort de travail gagnés.
Des veaux bien partis dans la vie
Acteurs : Gaec de La Loue (25) – Alain Cuenot, Sanders Aurore.
Moyens : Création d’une nurserie de 55 veaux et adaptation du programme alimentaire selon les préconisations Sanders.
Performance : Grâce à cet équipement, les éleveurs conjuguent bien-être animal, performances et confort de travail. Le GMQ a progressé. La mortalité a reculé. Le temps consacré aux soins a été réduit de moitié. L’investissement réalisé est pour moitié amorti par la plus-value réalisée lors de la première année de fonctionnement (+ de 7 000 €).
Simplifier la ration pour simplifier le travail
Acteurs : Pascal Huget, éleveur caprin (41) – Didier Lallier, Agralys Aliments.
Moyens : Valorisation des céréales produites sur l’exploitation et utilisation d’un aliment complet de la gamme Fluvia en remplacement de 3 aliments. Calcul de ration intégrant les critères nutritionnels Sanders.
Performance : L’éleveur a économisé 3 h 30 par semaine sur le poste distribution des aliments.
Il a amélioré les performances laitières de son troupeau (+ 0,3 point de taux protéique).
Simplifier la ration pour simplifier le travail
Acteurs : GAEC de la vallée (58) – Jérôme Maitzner, Sanders Centre Auvergne.
Moyens : Mise en place d'une ration à base de Tonimi Complet en remplacement partiel d'ensilage de maïs.
Performance : Grâce à cette substitution, l'éleveur a pu gagner à la fois du temps (une économie de main d’oeuvre de 365 h/an) et de l'argent (12 000 €).
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Une installation rondement menée
Acteurs : Christelle Dornes et Nicolas Soubeyrand, élevage caprin (07) – Alain Pinon,
Sanders Aurore
Moyens : Monter un troupeau de chèvres à partir de chevrettes de 8 jours pour produire du lait valorisé à contre saison.
Performance : En ajustant parfaitement la ration à base de fourrages avec la gamme Fluvia de Sanders, les primipares ont parfaitement démarré en lactation (910 litres de lait à 38 de TB et 33 de TP). Après avoir réussi l’installation de Nicolas, c’est au tour de Christelle de se lancer dans l’aventure. Prochaine étape : doubler la taille du troupeau en faisant progresser la moyenne d’étable.
Gain total : 24 000 €.
La nutrition renouvelée et à la carte
Acteurs : David et Fernand Aymar, exploitation laitière (15) – Jean-Marc Crantelle,
Jambon et Fils.
Moyens : Arrêt du maïs avec la mise en place d’une formule à la carte pour l’alimentation du
troupeau laitier.
Performance : La régularité de la ration, tant en quantité qu’en qualité, a permis d’améliorer l’état sanitaire et les performances du troupeau (+ 8 000 €/an). Côté approvisionnement, les exploitants sont moins dépendants des aléas climatiques. Côté qualité de vie, ils ont libéré
2 heures de travail par jour.
Les lauréats du métier volaille de chair
Dans la thématique : « GAGNER PLUS »
Rénové pour plus de rentabilité et de sérénité
Acteurs : SCEA du Petit Village, élevage avicole (22) – Richard Hermoet, Sanders Bretagne.
Moyens : Modernisation de l’atelier de volailles de chair grâce à l’installation de pipettes neuves, d’une brumisation haute pression et de canons extérieurs en remplacement des radiants.
Performance : Outre l’amélioration des performances d’élevage (GMQ, IC), l’éleveur a réalisé des économies d’énergie (gaz) et diminué sa cotisation d’assurance. Mieux équipé, il est plus serein face aux coups de chaleur et peut envisager une valorisation de sa production en passant du poulet standard au poulet lourd Princior.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Conforter le revenu en réorientant la production
Acteurs : Gaec Les Graviers, élevage et gavage de canards (46) – Jean-Luc Arnault,
Sanders Périgord.
Moyens : Faute de débouché, le Gaec a abandonné l’élevage d’oies pour développer l’élevage de canards existant de 1 150 à 4 000 têtes. Deux abris d’élevage ont été construits, la salle de gavage a été équipée d’un système de refroidissement et le programme alimentaire a été modifié en conséquence.
Performance : La spécialisation de la production a permis aux associés de dégager plus de
13 000 € de revenu annuel supplémentaire, tout en libérant du temps grâce à la modernisation des équipements d’élevage.
Les lauréats du métier poule pondeuse
Dans la thématique : « GAGNER PLUS »
La forme pas la réforme
Acteurs : EARL de La Lande du Goheu, élevage de poules pondeuses (22) – Yannick Thoraval,
Sanders Bretagne.
Moyens : Utilisation d’une spécialité nutritionnelle Sanders pour préserver la qualité de la coquille d’œuf en allongeant la période de production des poules pondeuses.
Performance : En réformant ses poules pondeuses 10 semaines plus tard, l’éleveur a gagné 6 % de marge supplémentaire par an (+ 3 kg d’œuf par poule).
Dans la thématique : « TRAVAILLER MIEUX ET GAGNER DU TEMPS »
Moderniser son atelier avicole
Acteurs : Christophe Cojean, élevage de poulettes (22) – Jean Le Pottier, Sanders Bretagne.
Moyens : Remplacement du système d’alimentation de l’atelier poulettes.
Performance : La modernisation du système d’alimentation facilite le travail quotidien (distribution, nettoyage, désinfection) et limite le gaspillage d’aliments. Les poussins démarrent mieux et les lots de poulettes sont plus homogènes.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Vivre l’agriculture en famille
Acteurs : EARL Tessier (61) – Emmanuel Odje, Agralys Aliments.
Moyens : Création d’un atelier de poules pondeuses plein air Label Rouge.
Performance : Cette diversification de l’exploitation a permis à Mme Tessier de quitter son emploi salarié pour s’installer agricultrice aux côtés de son mari. Toute la famille profite de l’indépendance et de la liberté retrouvées.
La forme pas la réforme
Acteurs : EARL de La Lande du Goheu, élevage de poules pondeuses (22) – Yannick Thoraval,
Sanders Bretagne.
Moyens : Utilisation d’une spécialité nutritionnelle Sanders pour préserver la qualité de la coquille d’œuf en allongeant la période de production des poules pondeuses.
Performance : En réformant ses poules pondeuses 10 semaines plus tard, l’éleveur a gagné 6 % de marge supplémentaire par an (+ 3 kg d’œuf par poule).
Dans la thématique : « TRAVAILLER MIEUX ET GAGNER DU TEMPS »
Moderniser son atelier avicole
Acteurs : Christophe Cojean, élevage de poulettes (22) – Jean Le Pottier, Sanders Bretagne.
Moyens : Remplacement du système d’alimentation de l’atelier poulettes.
Performance : La modernisation du système d’alimentation facilite le travail quotidien (distribution, nettoyage, désinfection) et limite le gaspillage d’aliments. Les poussins démarrent mieux et les lots de poulettes sont plus homogènes.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Vivre l’agriculture en famille
Acteurs : EARL Tessier (61) – Emmanuel Odje, Agralys Aliments.
Moyens : Création d’un atelier de poules pondeuses plein air Label Rouge.
Performance : Cette diversification de l’exploitation a permis à Mme Tessier de quitter son emploi salarié pour s’installer agricultrice aux côtés de son mari. Toute la famille profite de l’indépendance et de la liberté retrouvées.
Les lauréats du métier lapin
Dans la thématique : « GAGNER PLUS »
Mieux vaut prévenir que guérir
Acteurs : Jean-Jacques Dumas, élevage cunicole (42) – Sylvia Hervé, Sanders Centre Auvergne.
Moyens : Modification de l’alimentation et de la conduite d’élevage pour limiter la mortalité des lapereaux et les frais vétérinaires.
Performance : Grâce au programme nutritionnel Sanders, l’éleveur a gagné 4,8 kg de viande supplémentaires par IA pour un gain total de 9 380 €/an pour son élevage de
250 lapines. La mortalité a reculé d’un quart, tout en réduisant le coût vétérinaire de moitié.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Renouer avec son premier amour
Acteurs : EARL Lenté, élevage de lapins (37) – Dominique Poirrier, Agralys Aliments.
Moyens : Jean-Pierre Lenté a transformé un ancien bâtiment pondeuses en lapinière de 800 femelles en l’aménageant selon le System’Duo de Sanders.
Performance : L’éleveur économise 40 % par rapport au prix d’un bâtiment neuf (gain de 11 000 €/an). Il a surtout retrouvé avec bonheur la production cunicole qu’il avait dû arrêter il y a 10 ans !
Mieux vaut prévenir que guérir
Acteurs : Jean-Jacques Dumas, élevage cunicole (42) – Sylvia Hervé, Sanders Centre Auvergne.
Moyens : Modification de l’alimentation et de la conduite d’élevage pour limiter la mortalité des lapereaux et les frais vétérinaires.
Performance : Grâce au programme nutritionnel Sanders, l’éleveur a gagné 4,8 kg de viande supplémentaires par IA pour un gain total de 9 380 €/an pour son élevage de
250 lapines. La mortalité a reculé d’un quart, tout en réduisant le coût vétérinaire de moitié.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Renouer avec son premier amour
Acteurs : EARL Lenté, élevage de lapins (37) – Dominique Poirrier, Agralys Aliments.
Moyens : Jean-Pierre Lenté a transformé un ancien bâtiment pondeuses en lapinière de 800 femelles en l’aménageant selon le System’Duo de Sanders.
Performance : L’éleveur économise 40 % par rapport au prix d’un bâtiment neuf (gain de 11 000 €/an). Il a surtout retrouvé avec bonheur la production cunicole qu’il avait dû arrêter il y a 10 ans !
Les lauréats du métier porc
Dans la thématique : « GAGNER PLUS »
Des porcs qui poussent vite et bien : + 12 000 €
Acteurs : élevage de porcs (29) – Michel Leroy et Régis Morvan, Sanders Bretagne.
Moyens : Modification de la conduite en post-sevrage : distribution d’un aliment sous la mère,
adaptation de l’alimentation 1er et 2ème âges.
Performance : Les pertes en post-sevrage ont diminué de 2 %. Les porcs démarrent vite et
mieux. 9 jours ont été gagnés à la vente. Le bénéfice supplémentaire se chiffre à plus de 12 000 €.
Un élevage réinventé
Acteurs : Gaec de la Poirière, élevage de porcs (49) – Ludovic Posnic, Sanders Ouest.
Moyens : Modification du système de ventilation et de la conduite d’élevage.
Performance : Grâce aux conseils de Sanders, l’éleveur réalise de bonnes performances technico-économiques dans un bâtiment ancien. En améliorant le système de ventilation, en diminuant le chargement et en modifiant le programme alimentaire, il a amélioré son revenu de 18 000 € sur un an.
Des porcs en bonne santé
Acteurs : EARL Brule, élevage de porcs (28) – Patrice Le Roy, Agralys Aliments.
Moyens : Amélioration des performances techniques et économiques en post-sevrage et en engraissement : modification de l'aliment 2e âge.
Performance : Outre l'amélioration de l'état sanitaire en post-sevrage (diminution de la diarrhé), l'éleveur a réalisé un gain final de 40 000 €.
Retrouver la sérénité en travaillant moins et en gagnant plus
Acteurs : Martine et Jacques Bilcot, élevage de porcs (29) – Régis Morvan, Sanders Bretagne.
Moyens : Retrouver de la motivation, de la sérénité tout en améliorant les résultats techniques par des formules d'aliments sécurisés et un nouveau plan d'alimentation des truies.
Performance : En plus des 45 h libérées chaque année, l'éleveur a effectué un gain de plus de
30 000 € grâce à la performance technique.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Une restructuration qui a du bon
Acteurs : Earl Lion, élevage porcin (32) – Gérard Guilhas, Sanders Adour.
Moyens : Transformation d’un élevage de 100 truies naisseur/engraisseur partiel en un atelier post-sevreur/engraisseur avec adhésion à une maternité collective.
Performance : En externalisant le naissage et en rationalisant sa production, l’éleveur a gagné
4 heures de travail par jour et amélioré les performances d’engraissement. Le bénéfice mesuré s’élève à plus de 25 000 € avec retour à une dynamique de projet.
Des porcs qui poussent vite et bien : + 12 000 €
Acteurs : élevage de porcs (29) – Michel Leroy et Régis Morvan, Sanders Bretagne.
Moyens : Modification de la conduite en post-sevrage : distribution d’un aliment sous la mère,
adaptation de l’alimentation 1er et 2ème âges.
Performance : Les pertes en post-sevrage ont diminué de 2 %. Les porcs démarrent vite et
mieux. 9 jours ont été gagnés à la vente. Le bénéfice supplémentaire se chiffre à plus de 12 000 €.
Un élevage réinventé
Acteurs : Gaec de la Poirière, élevage de porcs (49) – Ludovic Posnic, Sanders Ouest.
Moyens : Modification du système de ventilation et de la conduite d’élevage.
Performance : Grâce aux conseils de Sanders, l’éleveur réalise de bonnes performances technico-économiques dans un bâtiment ancien. En améliorant le système de ventilation, en diminuant le chargement et en modifiant le programme alimentaire, il a amélioré son revenu de 18 000 € sur un an.
Des porcs en bonne santé
Acteurs : EARL Brule, élevage de porcs (28) – Patrice Le Roy, Agralys Aliments.
Moyens : Amélioration des performances techniques et économiques en post-sevrage et en engraissement : modification de l'aliment 2e âge.
Performance : Outre l'amélioration de l'état sanitaire en post-sevrage (diminution de la diarrhé), l'éleveur a réalisé un gain final de 40 000 €.
Retrouver la sérénité en travaillant moins et en gagnant plus
Acteurs : Martine et Jacques Bilcot, élevage de porcs (29) – Régis Morvan, Sanders Bretagne.
Moyens : Retrouver de la motivation, de la sérénité tout en améliorant les résultats techniques par des formules d'aliments sécurisés et un nouveau plan d'alimentation des truies.
Performance : En plus des 45 h libérées chaque année, l'éleveur a effectué un gain de plus de
30 000 € grâce à la performance technique.
Dans la thématique : « S’OUVRIR DES PERSPECTIVES »
Une restructuration qui a du bon
Acteurs : Earl Lion, élevage porcin (32) – Gérard Guilhas, Sanders Adour.
Moyens : Transformation d’un élevage de 100 truies naisseur/engraisseur partiel en un atelier post-sevreur/engraisseur avec adhésion à une maternité collective.
Performance : En externalisant le naissage et en rationalisant sa production, l’éleveur a gagné
4 heures de travail par jour et amélioré les performances d’engraissement. Le bénéfice mesuré s’élève à plus de 25 000 € avec retour à une dynamique de projet.
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